Je vous en parlais en #99 certaines personnes ne peuvent s’empècher de faire des remarques :
« (…)
« Tu ne vas manger que ça ? »
« Oh mais ça l’air dégueux ton truc »
« Mais tu es au régime ou quoi ? »
…
« Et sinon, tu peux t’occuper de ton assiette ? »
C’est assez fou cette manière qu’on les gens de toujours juger ce qu’il y a dans votre assiette. Dans un sens, comme dans un autre, il y a toujours un truc à redire, une critique à faire, rien de bien constructif. (…)».
C’est en discutant avec l’une de mes coachées que ce sujet a pris soudain une toute autre dimension, celle de la pression sociale dans nos assiettes.
Ma coachée, très mince, m’a expliqué que lors d’un repas avec sa belle-famille, arrivée à satiété à la fin du plat, elle n’a pas osé dire « non » à la mousse au chocolat servie en dessert, par peur des remarques auxquelles elle aurait dû faire face :
« Ah bah on comprend mieux pourquoi t’es mince »
« Je me disais bien que tu mangeais rien »
« C’est pas comme ça que tu vas grossir »
Elle n’avait plus faim, elle s’est forcée par crainte d’y être confrontée. Résultat, elle a été malade toute la nuit. Son corps n’en voulait pas, il n’avait plus du tout faim et encore moins pour un dessert aussi riche.
Ecoutez-vous, peu importe ce que pense votre entourage de votre assiette, encore une fois, cela vous appartient !
2 Commentaires sur “#111 – La pression sociale dans nos assiettes”
Oui si on écoute pas son corps. Malheureusement après on le paye un jour ou L’autre.
J’ai souvenir que c’est comme ça que j’ai commencé à grossir… J’étais mince avant et ma belle mère me forçait à manger. Même lorsque je lui disais non, elle remettait dans l’assiette pour ne pas jeter parce “on va pas ranger ça quand même”. Et petit à petit, jme suis mise mise à manger plus. Et aujourd’hui, je suis dans une vraie galère… J’ai énormément de mal à faire marche arrière même en disant non. Même si on en remet dans mon assiette je laisse (alors je passe pour la rebelle à forte tête…) sauf que maintenant j’ai 40 kilos en trop depuis 9 ans dont je n’arrive plus à me séparer… Parce que forcément d’autres problèmes s’y sont greffé..