#122 – Ton verre est-il à moitié plein ou à moitié vide ?

Vous connaissez ce principe de voir « le verre à moitié plein ou le verre à moitié vide » ?

Quand on est face à une situation, on peut choisir de voir les choses d’une manière ou d’une autre. D’une façon positive, en voyant le verre à moitié plein ; d’une façon négative en voyant le verre à moitié vide. C’est votre perception des choses qui fera que vous le vivrez de telle ou telle manière. 

Encore une fois, vous avez le choix (cf. #51 – Ce sont nos choix qui nous definissent)

En prenant les choses d’un point de vue positif, vous entrerez dans une cercle vertueux, celui d’une vision positive globale. Qu’il s’agisse de nos actes ou de nos pensées, puisque le positif attire le positif (cf. #101 – Le karma).

En essayant de relativiser et de toujours voir le positif de chaque situation, vous avancerez sereinement vers votre bonheur. Votre entourage aussi évoluera. Sans même vous en rendre compte, vous attirerez plus de personnes positives et bienveillantes autour de vous (cf. #3 – S’entourer de personnes bienveillantes). Le positif se partage et se transmet. Il rayonne. 

Récemment, une amie a passé un entretien dans une société en pleine expansion, dans son domaine de prédilection, le poste idéal selon elle. En ressortant de l’entretien, elle me dit « Le mec avec qui je bosserais est une tronche en la matière, une pointure, parcours de fou, il a eu une évolution fulgurante au sein de la société, ça me met la pression, je ne serais jamais à la hauteur… » = verre à moitié vide. 

Je lui réponds très spontanément « Tu te rends compte tout ce qu’il peut te transmettre et t’apprendre, ça serait génial de bosser avec un mec comme ça ; si c’est le meilleur, tu ne peux que l’être aussi avec un pilier comme ça à tes côtés » = verre à moitié plein. 

Elle était surprise et heureuse de ma réponse. Je l’avais rassurée, uniquement en modifiant son point de vue, sa manière de voir les choses. Elle m’a d’ailleurs dis en rigolant « on voit tout de suite qui entre toi et moi est positive et qui ne l’est pas. ». En effet. 

La vie ce n’est pas le monde des Bisounours, mais elle est assez courte pour laisser le négatif de côté, et n’en tirer que le positif.

2 Commentaires sur “#122 – Ton verre est-il à moitié plein ou à moitié vide ?”

  1. Ce 122e écrit me fait me questionner.

    A mon sens, “Quand on est face à une situation, on peut choisir de voir les choses d’une manière ou d’une autre” vient déjà d’un choix, celui de choisir de porter un jugement sur ce qui arrive, avant même de choisir de porter une vision positive ou négative. LA question que je me pose est de savoir si c’est bon, ou non, de faire le choix de porter un jugement. Pour l’exemple dont tu parles, on pourrait bien se dire qu’elle aurait l’opportunité de travailler avec un gars top dans son domaine, sans même se poser la question des incidences négatives ou positives que cela aurait sur elle. D’autant plus qu’on est totalement dans l’hypothèse de ce que serait ce futur, qui n’existera peut-être pas, après tout. Et que dans ce que tu relates, on ne sait même pas comment elle a appréhendé l’entretien lui-même, avant même d’anticiper sur une conséquence de ce qui pourrait en découler.
    En pratique, je suis quand même d’accord avec la réponse que tu lui as faite, ce qui est contrariant 😀

    Par ailleurs, je ne suis pas totalement d’accord avec “elle est assez courte pour laisser de le négatif de côté, et n’en tirer que le positif”. Cela dépend comment tu l’entends en fait. Soit tu entends de ne plus prendre en compte le négatif, auquel cas je m’insurge. Soit tu le dis au sens où le négatif doit être accepté, “intégré” comme j’appelle ça, c’est-à-dire qu’il ne doit pas nous pourrir de l’intérieur en restant insidieusement présent en nous. Mais qu’on doit le prendre comme faisant partie de nous, de notre expérience, qu’on doit l’accepter et l’ingérer. Et dans ce cas qu’on doit en tirer du positif au possible [au possible car il est des cas rares/précis où trouver du positif me semble tout à fait impossible] afin de, notamment, ne pas commettre à nouveau les mêmes erreurs à l’avenir, ou se prémunir d’actions qui nous déserviraient. Auquel cas, je suis d’accord.

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